Le Groupe Canez proteste contre l’arrestation Ralph Xavier Auguste.

Le Groupe Canez proteste contre l’arrestation Ralph Xavier Auguste.

Le Groupe Canez dans une note de presse datée du mercredi 14 octobre 2020, proteste énergiquement contre l’arrestation de Ralph Xavier Auguste perpétrée dans la matinée du 13 octobre 2020 dans les locaux de Canez Construction, sis à Delmas 4 pour avoir commis du trafic de spéculation illicite. Cette arrestation est illégale et arbitraire dit-il.

Lors d’une visite d’inspection dans les locaux de Canez Construction sis à Delmas 4, le ministre du commerce accompagné du commissaire du gouvernement ont procédé à l’arrestation de l’homme d’affaires Ralph Xavier Auguste pour trafic de spéculation « illicite » prévu par la loi du 20 décembre 1946.

Dans un communiqué en date du mercredi 14 octobre 2020, le Groupe Canez proteste énergiquement contre cette arrestation dit-il illégal et arbitraire. « Le groupe Canez proteste énergiquement contre l’arrestation arbitraire et illégale perpétrée dans la matinée du mardi 13 octobre 2020 sur la personne de Ralph Xavier Auguste dans les locaux de Canez Construction, sis à Delmas 4 pour le fallacieux prétexte d’avoir commis du trafic de spéculation illicite « Marché noir » prévu par la loi du 20 décembre 1946, abrogée depuis de nombreuses années. »

« Conformément aux communiqués 003 et 004 du MCI, le prix des produits ont été déjà libellés et affichés en gourdes dans quelques rayons de Canez Construction, en travaillant d’arache-pied afin de se conformer aux exigences de 14.000 produits exposés sur ses étalages » témoigne le Groupe.

Le Groupe Canez en a profité également pour dénoncer les déclarations graves et injurieuses, mensongères et diffamoires du Ministre du Commerce et de l’Industrie qui a insinué une participation du groupe et de ses dirigeants dans des actes de banditisme perpétrés au bas de Delmas.

« Investisseur national, le groupe Canez fournit plus de 800 emplois et s’acquittent annuellement de ses redevances envers l’Etat Haïtien » lit-on dans la note.

Les dirigeants du Groupe se disent victimes et sont l’objet de persécutions politiques, souhaitent que le Gouvernement prend des mesures afin de favoriser un climat d’affaires dans le pays.

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