Economie|-.100 millions de personnes pourraient se retrouver dans l’extrême pauvreté selon la Banque Mondiale.

Economie|-.100 millions de personnes pourraient se retrouver dans l’extrême pauvreté selon la Banque Mondiale.

L’institution financière mondiale alerte sur la plus grave crise économique planétaire jamais vue depuis 150 ans. L’économie mondiale doit se contracter de 5,2% cette année à cause du nouveau Coronavirus.

Alors que la pandémie Covid-19 bat son plein en Haïti et dans le reste du monde. La Banque mondiale peint un tableau sombre de l’économie avec des indicateurs en rouge. L’institution financière mondiale estime que l’économie planétaire doit se contracter de 5.2% cette année à cause du nouveau Coronavirus. Mais ce sont les pays dont le rythme de croissance économique est toujours au ralenti qui font de cette crise la pire depuis la Grande dépression des années 1870 explique la Banque Mondiale. Du jamais vu depuis 150 ans.

La pandémie Covid-19 a eu impact économique rapide sur de nombreux pays plus particulièrement en Haïti. Malgré l’aide acheminé vers les pays en recession, leur économie est affecté massivement. La banque Mondiale estime que 70 à 100 millions de personnes pourraient se retrouver dans l’extrême pauvreté. Effaçant le progrès durant les trois dernières années de la lutte contre la pauvreté.

Le scénario du pire.

La banque mondiale prévoit une chute de 8% au niveau mondial s’il y aurait une deuxième vague de la pandémie,et de près de 5 % dans les économies émergentes et en développement, tandis que la reprise mondiale se limiterait à juste un peu plus de 1 % en 2021. . C’est le scénario le plus pessimiste selon l’institution financière.

« La crise due à la pandémie de COVID-19 est exceptionnelle à de nombreux égards : elle s’annonce comme la plus grave récession enregistrée dans les économies avancées depuis la Seconde Guerre mondiale, tandis que les économies émergentes et en développement devraient connaître la première contraction de leur production en soixante ans, analyse Ayhan Kose, directeur de la division Perspectives de développement à la Banque mondiale. L’épisode que nous traversons entraîne déjà des révisions à la baisse des projections mondiales de croissance d’une ampleur sans précédent. Et si l’on se fie à ce qui s’est produit par le passé, on peut s’attendre à des risques de détérioration encore plus importants, ce qui signifie que les responsables politiques doivent se préparer à recourir à des mesures supplémentaires pour soutenir l’activité économique. »

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